Mon lapin aux deux grandes oreilles
Je sais bien qu'il m'entend quand je l'appelle
Mais voilà, le coquin, au lieu de m'écouter,
Se lave le bout du nez
Avec ses pattes mouillées.
Mon lapin à la douce fourrure
Dans ma main, je lui offre du pain dur.
Mais voilà, le coquin fait un bond de côté
Et s'en va grignoter
L'herbe verte du grand pré.
Mon lapin j'aime le caresser
Le matin je m'en vais le saluer
Et voilà, le coquin qui se laisse approcher
Et sur son bout de nez
Je lui donne un baiser.